Les téléphones portables, tablettes, ordinateurs portables, liseuses, caméras numériques, et autres produits high-tech sont encore et toujours en perpétuelle évolution en proposant des produits de plus en plus innovants, mais de plus en plus chers également en fonction de niveau de technologies qu’ils embarquent. Plus les valeurs à l’achat de ces appareils sont élevées, plus ils sont sujets à des risques de vols, de pertes ou de dégradations. Raisons pour lesquelles de nombreuses personnes pensent à souscrire à des assurances pour high-tech. Mais pour quelles raisons exactement faut-il souscrire à ce genre d’assurance ? Que faut-il savoir avant de souscrire ? Existe-t-il des risques d’offres frauduleuses dont il faut se méfier ?
Pourquoi souscrire à une assurance pour appareils high-tech
Les compagnies d’assurances sont désormais en mesure de proposer des garanties et couvertures sur absolument tout, allant des montres de luxes à l’habituelle assurance auto en passant désormais par les appareils high-tech. Smartphones, tablettes tactiles, ordinateur portable, liseuses ou encore console de jeux, ces appareils de haute technologie sont désormais indispensables à la vie de l’homme moderne. Peu de gens arrivent de nos jours à s’en passer malgré leurs prix exorbitants. Il s’agit pourtant de matériels qui doivent faire face à différents risques au quotidien tels que les vols, les pertes ou les dégradations. Ils sont effectivement assez fragiles avec des écrans ou des coques extrêmement cassables. Un simple moment d’inattention et votre Smartphone, qui vous a coûté une fortune, se fracasse sous vos yeux. Leurs popularités en font également des objets de convoitise surtout dans le marché noir. Personne n’est jamais à l’abri des vols et des pertes. Un Smartphone ou une tablette volée ou perdue implique souvent la perte de données personnelles précieuses comme les photos et vidéos familiales lors des vacances par exemple ou un document professionnel important. Heureusement qu’il existe aujourd’hui des contrats d’assurances spécialement destinées à ces produits nomades, proposés par de nombreuses sociétés de courtage en assurance comme la
sfam assurance sur leurs comptes
mobile.twitter.com/SFAM_Assurances.
Que faut-il savoir avant de souscrire ?
Appelés assurances affinitaires, ces contrats couvrent les produits de consommations courantes comme les tablettes, les Smartphones et les ordinateurs. La cotisation se fait généralement mensuellement avec un coup fixé en fonction de la valeur d’achat de l’appareil. Comment donc assurer ses appareils de haute technologie ? Avant de souscrire à ces types d’assurances dites d’affinités, il faut toujours vérifier si vous n’êtes pas déjà couvert par d’autres contrats. Une assurance multirisque habitation couvre effectivement ces objets nomades en cas de vol, d’incendie ou tout autres sinistre lié à l’habitation. Ils ne sont toutefois pas assurés si le sinistre a eu lieu à l’extérieur du domicile de l’assurée. Les contrats d’assurance liés aux cartes bancaires peuvent aussi couvrir les appareils high-tech. En choisissant une assurance affinitaire alors, pensez à vérifier le contenu du contrat, surtout les clauses d’exclusions. Tous les sinistres ne sont pas nécessairement couverts par une assurance. Certaines compagnies d’assurances ne remboursent en effet que les vols suite à une agression en cas de vols ou en cas de casse, ne couvrent qu’une certaine partie de l’appareil. L’assurance ne rembourse pas les réparations liées à l’écran cassé et ne prend en charge les réparations que si le téléphone ne fonctionne plus.
Existe-t-il des risques d’offres frauduleuses ?
Ces pratiques assez courantes chez certaines compagnies d’assurances sont toutefois jugées par de nombreuses organisations comme frauduleuses. La société de courtage en assurance affinitaire SFAM a d’ailleurs été la cible de nombreuses critiques sur leurs modes de souscription. La société qui se proclame comma étant aujourd’hui le numéro un en termes d’assurances affinitaires vient d’écoper d’une amende d’une dizaine de millions d’euros pour démarchage insistant, souscriptions forcées ou encore de résiliation compliquée. De nombreux consommateurs ont effectivement signalé des offres séduisantes qui cachent pour la plupart une réalité bien différente. Les contrats signés lors de l’achat d’un appareil cacheraient en fait un contrat d’assurance auquel le vendeur n’a jamais mentionné au moment de la signature. Sur Twitter, les
tweets sfam proposent à l’évidence des souscriptions gratuites pour une possibilité de résiliations à tout moment alors qu’après résiliation, les prélèvements continuaient de se faire. Les appels téléphoniques des téléopérateurs de la société quant à eux ne cachent pas la vente d’une assurance, mais propose la souscription sans engagement en une garantie couverture durant un mois, alors qu’en signant le client s’engage pour un an d’assurance. Le compte
twitter sfam ne conteste toutefois pas le problème en indiquant que les plaintes ne sont que de l’ordre de 0,04 des ventes mensuelles de l’entreprise.